COVID-19 Partie III – Un peu de science

19 mars 2020

Depuis que j’ai écrit les 2 derniers blogs, le monde semble être devenu fou. Je suis subjuguée par l’intensité du battage médiatique et de panique inutile actuels. Oui, vous avez bien entendu “inutile”!

Ceux d’entre vous qui comprennent les 5 lois biologiques du Dr Hamer savent ce que je veux dire, mais en même temps, vous admettez probablement aussi avoir adhéré au battage médiatique. C’est parce que vous avez été programmé depuis l’enfance pour ce moment particulier dans l’histoire de notre planète Terre.

Le monde dans lequel nous vivons a changé soudainement. Rien ne sera plus jamais pareil car maintenant «ils» ont le contrôle sur nous. Au moment où nous parlons, de nouvelles lois sont adoptées pour consolider ce contrôle alors qu’il s’agit d’allouer davantage de fonds à domaines de recherche sur lesquels nous n’avons aucun contrôle.

Il ne s’agit pas ici de «contenir» la propagation d’un virus mais plutôt d’imposer des changements fondamentaux dans la vie des individus de notre planète. Mes pires craintes sont en train de se réaliser.

Cependant, je pense toujours qu’il nous reste du temps, grâce à la connaissance et à la sensibilisation, pour prévenir la catastrophe qui est sur le point de se produire. Je parle ici notre la remise en cause de nos libertés ainsi que d’une campagne de vaccinations de masse obligatoire. Mais avant toutes choses, je me dois vous expliquer comment cela se déroule.

Pour ce faire, je dois rappeler l’histoire de la médecine et la théorie des germes. Je commencerai par l’explication du Dr Lanka sur la façon dont Robert Koch, le scientifique allemand qui a essayé de prouver qu’un microbe peut être transmis d’une créature à une autre, a mené ses recherches. Il a échoué misérablement et fut en fait chassé d’Allemagne jusqu’à ce que «les pouvoirs en place» voient que cette théorie pourrait leur être utile politiquement.

Selon les mots du Dr Stefan Lanka sur l’expérimentation bactérienne:

«Les bactéries produiront des toxines mais uniquement dans un cadavre. Les bactéries survivent dans un milieu oxygéné tel que l’intestin qui, lorsque l’individu ou l’animal décède, seront alors privées d’oxygène. Seules quelques-unes survivront et parviendront à modifier leur métabolisme pour devenir toxiques.

FAIT: les bactéries ne sont pas identifiables dans un tube à essai. Seulement 2% de toutes les bactéries peuvent être cultivées et se multiplier. Si une bactérie est extraite et cultivée de manière isolée, elle perd ses propriétés d’origine après un court laps de temps et de fait ne survivra pas. Afin de travailler les bactéries, de grandes quantités sont congelées, ce qui constitue une altération massive de leurs propriétés et qui fait que les bactéries ainsi obtenues ne sont plus du tout représentatives de leur comportement dans leur milieu d’origine.

Au cours de l’expérimentation, il a été observé que les bactéries, même si certaines se multipliaient, étaient incapables de produire des toxines chez un hôte vivant. Elles ne pouvaient produire des toxines que dans un hôte mort.

Ensuite, une tentative a été faite pour injecter une bactérie dans un hôte différent, mais sans réussir à le rendre malade. Le seul succès fut obtenu en tuant l’hôte puis injecter les toxines du cadavre ainsi obtenus dans des souris vivantes. C’est en effet uniquement après avoir pris un organe de la souris morte et l’avoir transplanté dans un hôte vivant que ce dernier fini par mourir.

Il faut aussi prendre en compte que ces créatures vivantes meurent davantage du processus expérimental que des toxines générées par les bactéries avec lesquelles elles ont été injectées. »

Dr Lanka sur l’isolement d’un virus:

«Des échantillons sont prélevés sur la personne ou l’animal« infecté» et sont placés avec la cellule pour laquelle le virus est testé, qui est généralement du matériel génétique étranger qui est introduit artificiellement dans la cellule réceptrice. C’est ce qu’on appelle la transfection. Si alors la cellule réceptrice présente des changements connus sous le nom « d’effets cytopathiques », signifiant des changements structurels, alors la culture est alors considérée comme «positive pour un virus».

La plupart des tests actuels sont effectués sur des œufs de poule contenant des embryons de poulet, qui représente la même méthode utilisée par Robert Koch pour injecter des toxines cadavériques dans des créatures vivantes. Dans ce cas, ils prélèvent des échantillons sur la personne ou l’animal «affecté» et l’injectent dans l’œuf de poule et selon la façon dont l’embryon meurt, il est proclamé que le virus est présent.

On prétend alors que le virus a été isolé. Le problème est qu’il n’y a jamais de groupe témoin, et de même si une solution stérile est injectée dans l’œuf, il mourra de la même façon.

Les photographies actuelles de virus trouvées dans des livres médicaux ou en ligne sont toutes soit des images CGI (images générées par ordinateur), soit uniquement un mélange de graisses et de protéines qui sont ensuite secouées dans un bain à ultrasons puis visualisées au microscope. On constate cependant qu’elles ne contiennent pas d’acide nucléique et se décomposent rapidement. Elles sont également de tailles différentes. C’est clairement de la fraude. »

Actuellement au Canada

«Une entreprise canadienne affirme avoir fait une percée en prétendant avoir développé un vaccin candidat pour le COVID-19 et qui pourrait lancer des tests sur l’homme dès cet été.

Il s’agit de Medicago, une entreprise Québécoise, a déclaré qu’elle avait produit une particule de type viral du nouveau coronavirus, une première étape vers la production d’un vaccin, qui sera maintenant soumis à des tests précliniques pour évaluer son efficacité et si elle est acceptable pour inoculation chez l’homme.

La société biopharmaceutique a déclaré qu’elle était en mesure de créer un candidat vaccin rapidement car elle utilisait une plate-forme à base de plantes, et non des embryons de poulet, pour aider à cultiver des protéines vaccinales.

«Nous avons un [vaccin contre la grippe saisonnière] qui est actuellement à l’étude avec Santé Canada, et la [technologie] utilisée est transférable au COVID.

Dawn Bowdish, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur le vieillissement et l’immunité à l’Université McMaster, a déclaré que la capacité de l’entreprise à produire des particules de type viral dans les plantes l’a aidé à produire des vaccins contre la grippe dans le passé, y compris un vaccin candidat contre le H1N1 en 2009.

«Une particule offre les même aspects extérieurs qu’un virus mais ne contient aucun des constituants génétiques nécessaires», a déclaré Bowdish, qui siège également au conseil scientifique de Medicago. “Cette particule ne provoque aucune infection mais est identifiée comme telle du point de vue du système immunitaire.”

Bien que ce soit une «bonne nouvelle», Bowdish continue en disant que la plupart des essais de vaccins échouent et en 17 ans, il n’y a jamais eu de vaccin entièrement développé pour l’épidémie de SARS.

“Il est peu probable qu’il y ait un médicament miracle”, a-t-elle déclaré. «Mais le Canada a connu des succès incroyables en créant des vaccins très rapidement. Nous avons eu un énorme succès avec l’Ebola. »

Maintenant, ce qui est intéressant à propos des particules déclarées « virus » c’est qu’ils admettent en fait qu’ils n’ont jamais réellement isolé un virus vivant… .. Quant au « virus » Ebola, il a été montré depuis que les sources d’eau des villages touchés avaient été empoisonnées au formaldéhyde. Si vous regardez les symptômes de l’Ebola, vous verrez qu’ils sont identiques à ceux de l’empoisonnement au formaldéhyde.

Retour aux livres d’histoire, quelques faits intéressants sur Pasteur.

Parallèlement à ses journaux de recherche, Pasteur tenait un journal personnel qui ne devait jamais être ouvert et devait rester au sein de sa famille. Cependant, ses descendants ont remis ses documents ainsi que son journal personnel à l’Université de Princeton qui les a dévoilés. On y découvre que Pasteur avouait avoir commis une fraude à l’occasion de ses recherches. Toutefois, il eut assez d’humanité pour documenter ses mensonges dans son journal personnel parallèlement à aux documents de recherche officiels.

Il a demandé à ce que ces documents ne soient jamais rendus publics et sa famille s’est naturellement enrichie. Toutefois, le dernier descendant masculin de Pasteur n’a pas obéi à ses souhaits et a remis les documents à l’Université de Princeton et en 1993 ou le professeur Gerard Geisson a publié une analyse en anglais qui révèle que Pasteur a commis une fraude massive dans toutes ses recherches. Par exemple, les animaux vaccinés, s’ils avaient survécu, n’avaient pas été soumis à des toxines expérimentales de cadavre, quand dans le même temps les animaux du groupe témoin qui sont morts sans vaccins sont morts de ce même type d’empoisonnement.

Il a donc reconnu avoir falsifié ses conclusions. Le problème ici est que la vision du monde actuelle sur les agents pathogènes est basée sur cette fraude avec l’idée que les vaccins sont promus afin que nous «construisions notre immunité» contre ces soi-disant agents pathogènes.

Maintenant que j’ai présenté ces faits très intéressants, nous nous devons regarder ce qui se passe réellement.