Plague

COVID-19 Partie IV – Statistiques mises en perspective

20 mars 2020

Depuis mon premier blog sur ce sujet, j’ai gardé un œil sur les statistiques liées à ce que l’on considère comme étant les « personnes infectées» ainsi que les morts au cours de cette flambée et je dois dire que certains faits très intéressants ont émergé.

Dans le même espace de temps, j’ai reçu de nombreux rapports de partout et il m’a donc fallu un certain temps pour examiner tout cela et prendre le recul necessaire.

D’une manière générale, le taux de mortalité dans le monde a été de 4,1 % parmi les 244 500 cas diagnostiqués, l’Italie étant le principal contributeur avec un taux à 8,2 %. Nous nous devons donc d’examiner de près comment et pourquoi cela s’est produit en Italie, d’autant plus avec la Chine qui actuellement ne fait part d’aucun nouveau cas et la Corée du Sud signalant une baisse des cas diagnostiqués.

Une saison grippale « standard » comptait un taux 2,1% de morts par rapport au total de personnes contaminées quel que soit le pays concerné. Toutefois, cette fois-ci les chiffres venus d’Italie étaient de l’ordre du double.

Actuellement, au Canada, nous avons 873 cas diagnostiqués, dont 12 sont décédés, soit un taux de mortalité de 1,4 %. Aux États-Unis, parmi 11 000 personnes diagnostiquées, 178 sont mortes représentant un taux de mortalité de 1,6 %. Ces chiffres sont en fait inférieurs à ce qui est escompté d’une saison grippale classique.

Je vais en venir à comment les gens sont diagnostiqués, mais tout d’abord nous examinons ce qui s’est produit en Italie. Dans mon premier blog sur ce sujet, j’ai mentionné que bien qu’il ait été difficile de déterminer la cause collective du choc subi par la population en Chine, nous sommes parvenus à trouver une explication à ce qui a précédé (c.-à-d. le conflit) et ce qui a été résolu peu de temps avant la soi-disant flambée (c.-à-d. la résolution). Merci de vous référer à mes 2 premiers blogs dans cette série.

Traitement du COVID-19

Les « traitements antiviraux «  utilisés sur les patients italiens pourraient être responsables de l’accroissement des décès. De mon point de vu, en tant qu’ancienne consultante en médecine alternative, cela est lié aux effets secondaires liés aux médicaments qui sont administrés aux patients âgés atteints d’une grippe sévère offrant une prédisposition liée aux l’interaction médicamenteuse avec les traitements qu’ils reçoivent déjà pour des maladies cardiaques, le diabète et l’hypertension artérielle. Dans le cas présent, il est fort possible que nous soyons témoins d’un cas grave d’interaction médicamenteuse propre aux patients âgés.

Ce que je trouvé surprenant, c’est que le médicament de choix en Chine appelé « Chloroquine (Aralen) » est en fait un médicament contre le paludisme qui est une maladie transmise par les moustiques atteints d’un parasite.

Plus récemment, en Italie, un médicament antiviral appelé “Ribovirin” ayant pour effets secondaires une déficience hépatique et rénale et une anémie sévère, a été utilisé. Ce médicament est normalement utilisé pour le traitement de l’hépatite C.

En outre, quand j’ai étudié l’âge moyen des patients succombant à la grippe en Italie, il était de 81,3 ans il apparait qu’en grande majorité ils avaient déjà quelques problèmes de santé avant d’attraper la grippe.

Le conflit collectif dans le nord de l’Italie

Heureusement, une de mes connaissances qui parle italien et qui a pu effectuer des recherches sur l’épidémie dans cette région m’a permis de comprendre ce qui c’est passé du point de vue du la GNM. Voyez plutôt ce qui suit.

Codigno, une importante région agricole située dans le nord de l’Italie, a connu plusieurs changements climatiques importants au cours des dernières années liés à des conditions météorologiques extrêmes, incluant plusieurs tempêtes de grêle dévastatrices, de fortes pluies, des infestations d’insectes et des dommages causés par des animaux sauvages en quête de nourriture entrainées par ces conditions environnementales extrêmes.

La zone agricole de Codigno a été victime d’une perte à gagner de plus de 11 millions d’Euros entre juillet et août 2019, puis la dévastation s’est poursuivie jusqu’en octobre de l’année dernière. Cela s’est traduit par un abaissement considérable des moyens de subsistance des agriculteurs de la région.

La résolution du conflit dans ce cas particulier est survenue lorsque les résultats financiers récents ont atteint 800 millions d’euros de la production agricole de la région malgré ce qu’ils ont subi en 2019.

D’autres zones géographiques du nord de l’Italie qui ont été touchées par la grippe sont elles localisées à proximité des rivières Po et Dora, qui ont également subi des inondations dévastatrices en 2019 également en raison des changements climatiques. En effet, plus de 210 mm de pluie se sont abattus en octobre sur 3 jours et 110 mm en novembre. Les dégâts matériels étaient significatifs. Les scientifiques ont qualifié cela d’une « anomalie majeure ».

Il est facile d’imaginer le soulagement général de la population concernée une fois cette période de crise passée suivie d’un retour à une vie normale dans cette région.

La menace de leur existence

Ce qui est intéressant dans les scénarios concernant la Chine et l’Italie c’est que, dans les deux cas, les populations ont connu un « conflit d’existence » qui génère le même syndrome au niveau des tubules rénales suivi par une rétention de liquide dans les organes qui dans ce cas se trouvent être les poumons qui lors de la phase de guérison (résolution du conflit) se manifeste dans les deux cas sous forme de « pneumonie ».

De plus, nous devons également considérer que les habitants de cette région en Italie ont vécu simultanément et collectivement un conflit lié à l’eau/la fluidité, ce qui signifie en fait que non-seulement les tubules de collecte rénale ont été touchées, mais aussi le parenchyme rénal qui est responsable de l’hypertension rénale (hypertension artérielle) a été affecté. Cela a certainement contribué à l’aggravement des conditions préexistantes chez les personnes âgées. Ajoutez à cela le Ribovirin et nous avons là un cocktail mortel.

Cela représente beaucoup d’information à la fois, même pour l’étudiant bien informé GNM, mais grâce à toutes les données reçues, j’ai pu en extraire une image plus claire.

Maintenant, nous devons examiner la cause et l’effet sans oublier des méthodes de test qui sont utilisés pour diagnostiquer ce nouveau » virus nommé  corona ».