Istock 000009732021xsmall

Partie II – Test de dépistage d’un virus

Bien sûr, connaissant tout cela avant « l’épidémie » du virus dit corona, j’ai examiné quel type de tests qui sont utilisés pour confirmer qu’une personne a effectivement le virus.

Je n’ai pas été surprise lorsque j’ai découvert qu’il y avait déjà des kits de test disponibles pour ce soi-disant virus déjà approuvés par la FDA (The Food and Drug Administration) depuis mi-2019.

Hum, cette « épidémie » était-elle prévue? Cela ressemble fortement à la théorie du complot autour de l’épidémie du SIDA dans les années 1980 qui était un autre virus qui a été impossible à identifier sous un microscope électronique … mais cela sera l’objet d’un autre blog !

Inutile de dire que la Chine n’était pas préparée à cela et n’avait rien en place pour « diagnostiquer » ce qui était à l’origine de cette crise sanitaire massive. Cependant, puisque la FDA avait déjà des kits d’essai pour un tel événement ils sont devenus le fournisseur de ces kits pour la Chine.

Encore une fois, comme aucun virus n’a jamais été isolé, ils ont dû trouver différentes formes de tests qui, dans ce cas, impliquaient l’utilisation du séquençage de l’ADN par le sang ou des échantillons de salive prélevés sur des individus atteints.

Si aucun virus n’a jamais été identifié à l’aide d’un microscope, ma question est de savoir comment se fait-il qu’ils aient pu définir le séquençage de l’ADN pour cette situation particulière ?

Qu’est-ce que cela indique vraiment? Essentiellement, d’âpres ce qu’ils disent, qu’ils sont en mesure de déterminer les « marqueurs », mais les marqueurs de quoi ?

Encore une fois, nous sommes confrontés à une nouvelle hypothèse qui ne fait vraiment rien pour aider l’individu malade. Toutefois nous pouvons être sûr qu’à terme un vaccin va être trouvé afin d’éradiquer quelque chose qu’ils n’ont pas été en mesure d’isoler.

Tests peu fiables

En ce qui concerne la méthode de test ci-dessus, elle s’est avérée très peu fiable. Il y avait beaucoup de faux positifs. En conséquence, ils ont dû trouver un autre moyen de diagnostiquer le coronavirus chez toute personne qui avait les symptômes de la grippe ou juste une toux et de fait ils se sont donc tournés vers des technologies existantes telles que la radiographie thoracique ou la tomographie informatisée du cerveau (CT Scan en anglais).

En fin de compte, toute personne qui avait du liquide dans les poumons a été présumée comme ayant le virus et a été immédiatement mis en quarantaine.

C’est aussi à ce moment-là que le nombre d’individus « touchés » a augmenté de façon spectaculaire en l’espace de quelques jours. Bien évidemment, la question est de savoir si ils ont tous eu le soi-disant virus ou est-ce que certaines de ces personnes étaient en fait sujettes à une pneumonie bactérienne ou encore une insuffisance cardiaque puisque ces deux ont un symptôme en commun : du liquide dans les poumons ?

Taux de mortalité

Comme je suis Torontoise ayant vécu dans cette région la majeure partie de ma vie, il m’a été donné d’être témoin d’un autre type de soi-disant épidémie de virus corona dénommée le SARS. Il s’agissait d’un autre virus qui provenait de Chine. Cette fois-ci cela a commencé avec un avion rempli de passagers en provenance de Chine de retour au Canada.

Comme j’étais déjà impliquée dans la GNM depuis 10 ans, j’ai commencé à prêter attention à ce qui était dit, comment le grand public réagissait, comment les médias ont traité l’affaire et notamment les statistiques sur les taux de mortalité et cela alors même qu’ils n’avaient jamais isolé le virus corona qui était apparemment responsable du SARS.

Soit dit en passant, le virus corona est censé être dérivé d’un « virus de chat », une autre hypothèse qui n’a jamais été prouvée.

Quoi qu’il en soit, je n’ai pas été surprise de constater que le taux de mortalité n’était pas plus élevé que toute autre saison grippale. Lorsque j’ai fait les calculs, 2,1 % des personnes avaient été diagnostiquées comme contaminées, ce qui était exactement le même taux que pour toutes les autres saisons grippales.

Inutile de dire que c’était aussi le taux de mortalité exact au début de l’épidémie COVID-19. Toutefois, lorsque la méthode de test « nouvelle et améliorée » d’utilisation du CT Scan de la poitrine a été mise en œuvre, le taux de mortalité a également augmenté parce qu’il y avait plus que les personnes atteintes de la grippe. Cela comprenait également d’autres affections qui étaient « suspectées » d’être dues à un virus.

Malgré cela, ceux qui ont succombé au soi-disant virus ou plutôt ceux qui vont probablement succomber à tous les symptômes de la grippe sont les personnes âgées, ceux qui sont affaiblis par d’autres prédispositions telles que les maladies cardiaques, les maladies rénales ou encore les personnes mal-alimentées. C’est aussi un fait connu que les personnes prenant des opioïdes pour la douleur chronique sont à risque étant données les insuffisances respiratoires généralement occasionnées par les opioïdes.

Quel groupe n’a pas été touché?

Quand j’ai lu l’information suivante je ne fus guère surprise. En effet la semaine dernière, la nouvelle en provenance de Chine était que le seul groupe de personnes qui n’ont pas été malades par cette soi-disant épidémie de virus étaient des enfants. Comment cela est-il possible étant donné que personne n’était « immunisé » contre ce virus qui a été « transmis » aux individus dans le monde entier?

Dans le contexte de la GNM, cela n’est pas surprenant puisque les enfants sont protégés contre les questions « politiques » par leurs parents et de fait ils ne seraient pas affectés par les mêmes craintes territoriales.

Le conflit à Wuhan

Wuhan étant une si grande région, il est difficile de vraiment identifier l’épicentre sans compter que les nouvelles en provenance de la Chine sont également contrôlées rendant l’accès a l’information difficile.

Ceci étant, quand on m’a présenté divers articles, cela a commencé à prendre tout son sens.

Ce qui suit a été tiré du “Bloomberg Report” daté du 23 janvier 2020:

Lorsque le premier ministre Li Keqiang a déclaré une « guerre contre la pollution » en 2014, quelques centaines d’habitants de la ville de Wuhan, dans le centre de la Chine, l’ont interprété comme une incitation.

Encouragés par la conviction qu’ils répondaient à l’appel des leaders politiques du pays, Ils ont imprimé les mots de Li sur une bannière de six mètres (20 pieds) et ont protesté devant une usine d’incinération qui causait des maladies dans la communauté. En retour, les résidents ont été harcelés par la police locale qui a déchiré et piétiné la bannière.

« Nous étions inquiets et en colère quand nous avons réalisé ce qui causait la puanteur et rendait nos enfants malades », a déclaré Zhang Xijiao, 44 ans, qui a été détenu pendant une semaine pour avoir fabriqué la bannière. “Mais nous ne sommes que des fourmis, le gouvernement local peut nous écraser comme ils le veulent.”

Cet épisode déclencha une lutte de six ans durant laquelle Zhang fut harcelé et surveillé par les autorités locales, sans aucun signe du gouvernement pour relocaliser l’incinérateur et ce en dépit des pétitions répétées et l’usage des réseaux sociaux sur les dangers de la pollution.

Le fait que le sujet de la pollution est combattu par le dirigeant chinois le plus puissant depuis Mao rend la situation d’autant plus délicate, incitant les responsables locaux à essayer de faire taire les militants qui pourraient exposer la dégradation environnementale dans leur région.

En septembre de l’année dernière, un groupe de cinq résidents s’est rendu à Pékin pour faire part de leur situation aux autorités du pays tout cela pour constater qu’on avait été prévenu en avance de leur visite. En effet, Ils ont été accueillis à la gare par une douzaine de jeunes hommes vêtus de noir déclarant que des mesures avaient été prises afin que la délégation puisse rencontrer certains fonctionnaires afin de discuter de la question. Les membres de la délégation ont été invités à monter dans trois voitures qui au lieu de les emmener dans un bâtiment gouvernemental de la capitale, les ont ramenés jusqu’à Wuhan, un voyage de plus de 10 heures.

Comme les habitants de la campagne de Wuhan ont pu le constater à leurs dépens, questionner les autorités est une question sérieuse. Plus récemment, ils ont changé de tactique pour essayer d’attirer l’attention du gouvernement central sur leur sort. Mais selon Zhang, les autorités de Wuhan ont bloqué leurs tentatives de rejoindre Pékin en surveillant leur réservation de billets de train.

Zhang, qui pris la parole avantl’apparition d’un virus sans rapport [avec le COVID 19] à Wuhan, réserve son mépris pour les autorités locales et ce qu’elle considère comme étant leur manque de volonté de protéger la santé des gens. Elle a déclaré : « L’enlèvement inattendu m’a fait perdre la foi à nouveau dans le gouvernement local et montre à quel point ils peuvent être déraisonnables ».

La résolution

« Les 1,4 milliard d’habitants de la Chine produisent des montagnes de déchets qui doivent être traités de toute urgence. Selon le ministère du Logement et du Développement urbain-rural, le volume des déchets domestiques traités dans les zones urbaines a atteint 215 millions de tonnes en 2017. Les sources officielles citent souvent un chiffre de l’Association pour l’Environnement Urbain et l’Assainissement de près d’un milliard de tonnes de déchets chaque année ».

Un programme pilote de recyclage est entré en vigueur à Shanghai en juillet et s’étendra à 46 mégapoles d’ici la fin de 2020. Les résultats jusqu’à présent ont été mitigés cependant car la loi de tri des ordures par couleurs laisse les habitants perplexes. Jusqu’à ce que le recyclage soit lancé, les sites d’enfouissement ou l’incinération demeurent les seules alternatives disponibles.

En décembre, le site [de traitement des déchets] était envahi de mauvaises herbes et le sol rouge était en grande partie désert. Un travailleur a rassemblé le peu de matériel restant, disant qu’on lui avait dit de le mettre de côté jusqu’à ce qu’une décision soit prise la relance du projet.

Il dit qu’il s’était réjoui de la nouvelle de la suspension de l’usine, ajoutant qu’elle n’aurait jamais dû être construite si près des habitations.

En conclusion

C’est un fait connu que la Chine emploie des tactiques fortes de contrôle des populations. Comme vous pouvez le lire ici, cela s’applique non seulement aux opinions politiques, mais aussi aux questions environnementales.

Dans ce cas particulier, les gens craignaient pour leur vie en raison de leurs protestations contre une usine d’incinération existante représentant une importante source de préoccupation environnementale pour la population.

En plus de cela en fin de Juin 2019, il est apparu qu’un autre incinérateur devait être construit sur le terrain qui avait été initialement promis comme parc pour les résidents dans cette région.

Ces types de d’usines sont responsables de l’émission d’importantes quantités de dioxyde de carbone, de dioxyde d’azote et de dioxyde de soufre qui non seulement affectent Wuhan, mais peuvent également être transportés par les vents traversant le Pacifique jusqu’à atteindre les États-Unis.

La crainte initiale était peut-être autour des usines d’incinération des déchets toxiques, mais elle s’est ensuite étendue à la crainte de représailles de nature plus physique lorsque les gens ont commencé à protester en fin de juin 2019.

La résolution [du conflit] est survenue à la suite de la fermeture “jusqu’à nouvel ordre” du site de la région de Wuhan. Inutile de dire que les résidents en furent grandement soulagés.

Pandémie mondiale

Au fil des ans, je suis devenue assez cynique en ce qui concerne ce types d’événements et je cherche toujours à identifier l’agenda caché qui généralement les accompagne. L’OMS qui dépend apparemment grandement de l’industrie pharmaceutique est responsable pour une grande part de la peur véhiculée au sein de la population.

Si seulement les gens levaient la tête de leurs téléphones cellulaires pour voir de temps en temps ce qui se passe vraiment dans le monde, ils pourraient commencer à voir les choses plus clairement.

La plupart des gens sont dans un état d’hypnose induit par leurs portables et quand ils sont constamment dans cet état, ils ne pensent plus par eux-mêmes ou ne remettent plus en question ce qui se passe dans le monde. Ils sont tout simplement d’accord avec ce qu’on leur dit. “Si c’est sur Internet, ça doit être vrai”.

Il est devenu évident pour moi que la communauté scientifique ferme les yeux et ne remet pas en question la méthodologie utilisée pour déterminer la cause des maladies dites infectieuses.

Si quelqu‘un s’aventure a remettre en question quoique ce soit, ils sont traites de charlatans et dissidents et de mesures sont prises afin de les discréditer en détruisant leur réputation. Bien sûr, notre cher Dr Hamer fut été victime de la communauté scientifique pendant plus de 35 ans parce qu’il a contesté le paradigme médical existant.

Il est clair pour moi que nous sommes tous manipulés par « des pouvoirs en exercice » qui ont leur propre agenda afin de contrôler la population d’une manière ou d’une autre. Cela est la véritable pandémie et il est temps que les gens commencent à remettre cela en question.